vendredi 21 octobre 2011

Quand les mots d'un autre deviennent nôtres. (18 novembre 2010)


Pour l'amour qu'il nous reste

Paroles : Jean Véronneau et Francine Raymond.
Musique : Christian Péloquin et Francine Raymond.
1989
Les Éditions Francine Raymond et Les Éditions Dernière Minute.

Temps dans le lit défait des rivières fatiguées
Temps dans le ciel muet comme un grand glacier
Quelle chanson quelle saison calmera la pluie sur la terre brûlée

Je ne sais pas le temps seul soufflera
Au-delà des tranchées que l'on creuse en silence
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang

Temps dans les villes glacées de la misère cachée
Temps dans les rues vidées comme des forets tombées
Quelle chanson quel saison calmera la pluie sur la ville oubliée

Je ne sais pas le temps seul soufflera
Au-delà des tranchées que l'on creuse en silence
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang

Temps pour l'amour qu'il nous reste

Temps dans le lit défait des rivières fatiguées
Temps dans le ciel muet comme un grand glacier

Il faudrait beaucoup d'amour et de temps
Pour endormir la mort qui nous guette au tournant
Le vent se lève comme dans un mauvais rêve
La terre crève et soulève des rivières de sang

Temps pour l'amour qu'il nous reste
Temps, temps pour l'amour qu'il nous reste
Temps pour l'amour qu'il nous reste
Temps, temps pour l'amour qu'il nous reste
Temps pour l'amour qu'il nous reste


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