Et si j'étais autiste? Pas sévère, juste un peu. On me l'a déjà dit. On trouve que j'ai la fâcheuse manie de retenir du contenu inutile. Que mon regard est fuyant. En médecine, on aurait même laissé sous entendre que mon affect était émoussé. On ne rit plus. J'émousse astheure.
Sérieusement, je me dis que je suis un peu le mélange de Rain Man et de T'as le bonjour d'Albert. Tsé un croisement génétique peu viable. C'est pas un bon soir .... définitivement pas un bon soir.
jeudi 31 janvier 2013
dimanche 13 janvier 2013
Somebody that I used to know.
Now and then I think of all the times you screwed me over
But had me believing it was always something I'd done
But I don't wanna live that way
Reading into every word I say
You said that you could let it go
And I wouldn't catch you hung up on somebody that you used to know ...
Je rêve d'un gars qui s'assume et qui sait ce qu'il veut. Cela ne veut pas dire adopter et s'installer.
J'en ai marre d'Occupation Double ...
jeudi 10 janvier 2013
Ritournelles...
Je me sens un peu moisi moéssi.
Turn the beat around.
Fame! I wanna live forever.
Seul, comme en exil!
Oh oh child! Things are gonna get easier.
Blanche comme la neige, belle comme le jour.
I felt the earth beneath my feet.
Every time I see you fallin I get down on my knees and pray.
Perdu dans le même décor.
Quand le désert avance.
When science now is sacred who will save us from ourselves.
Je ne sais pas le vent seul soufflera au delà des tranchées que l'on creuse en silence.
You got it.
Smile.
Turn the beat around.
Fame! I wanna live forever.
Seul, comme en exil!
Oh oh child! Things are gonna get easier.
Blanche comme la neige, belle comme le jour.
I felt the earth beneath my feet.
Every time I see you fallin I get down on my knees and pray.
Perdu dans le même décor.
Quand le désert avance.
When science now is sacred who will save us from ourselves.
Je ne sais pas le vent seul soufflera au delà des tranchées que l'on creuse en silence.
You got it.
Smile.
dimanche 6 janvier 2013
Doute.
Une société comme la nôtre cultive le doute. Elle le cultive tellement que nous nous en nourissons maintenant afin de survivre. Et la roue tourne et tourne et tourne encore....
jeudi 3 janvier 2013
Égocentrisme 101
Bon ça y est, je me suis décidé ce soir : je deviens égoïste! Pas un égocentrisme mal assumé et même maladroit comme celui que je cultive depuis plusieurs années, mais un égocentrisme bien senti et pleinement assumé comme je devrais dorénavant le faire.
L'égoïsme peut se baser sur l'idée d'importance de soi et l'instinct de survie, à savoir l'ensemble des tendances ou instincts qui poussent l'individu dans le sens de sa conservation à court terme et de son développement personnel. C'est ignorer qu'à moyen terme et à long terme, notre existence dépend de celle des autres. (ça ne vient pas de moi, wikipedia en est l'auteur!). Mais je pense qu'on y retrouve beaucoup d'éléments véridiques.
Égoisme et instinct de survie.
En effet, je pense qu'il y a un peu de cet instinct de survie dans la manoeuvre d'un individu que de rediriger ses propres actions vers son profit personnel. C'est mon cas du moins. L'altruisme que de penser aux autres, à leur bonheur avant le nôtre peut certes permettre d'acheter la paix, mais fait de grands ravages au fil du temps. Prenons par exemple mon imminent déménagement vers Montréal. J'ai peur de blesser de la famille, des amis quand au fond, c'est un défi que je me souhaite depuis près d'une décennie et pour laquelle j'ai maintenant trop longtemps freiner mes élans. Et je sais que si je ne le fais pas, c'est de ma survie dont il est question. Je sens que je suis dans un cylindre de verre fermé que l'on remplit depuis des années d'eau et je m'approche du trop plein. Si je n'ouvre pas un horizon, que me reste-t-il si ce n'est que la noyade?
Survivre, c'est vivre en attendant. En attendant de mieux ou en attendant de pire. Mais c'est encore cet inlassable attente de changements. Il est normal alors je pense que faire avancer sa propre cause un moment donné. Avancer. Le thème d'une vie.
Ignorance intentionnelle du bien commun.
Le fameux bien commun. J'y crois et j'y consens. Mais je me dis que des fois, c'est aussi au tour du serveur que de s'asseoir pour qu'on puisse le servir de quelques manières que ce soit et de ne pas attendre à la fin de la tournée pour se payer sa rasade, car il ne reste que des miettes une fois notre tour venu. Le bonheur collectif passera inévitablement par le bonheur des individus. Et je dis qu'en 2013, je serai d'abord un individu. La jungle urbaine a ses règles dont l'évidence nous échappe trop souvent. Mais si elle nous échappe si fréquemment, c'est que trop souvent nous la cherchons trop loin. Ou bien peut-être est-ce notre postulat comme quoi une évidence est requise pour chaque chose qui fait défaut? J'irai donc voir dans l'égocentrisme ce que j'y trouverai à titre de réponse.
Comment maintenant?
En me choisissant, tout simplement. Fini les énergies passées dans le vide sans que ça ne me rapporte un peu.
- J'habite à 100% mon chez moi, terminé les questionnements sur les opinions hypothétques d'une absente. Plus que 6 mois de colocation fictive et n'oublions pas que les absents ont toujours torts.
- Une visite de routine chez le médecin s'impose et je dois faire quelques check ups. J'ai droit aussi au bonheur et cela va passer par la santé. Perte de poids au menu et redressement de la glycémie.
- Une routine de lunchs et de sommeil s'impose. Un agenda d'hygiene de vie. Des plaisirs, petits et grands.
- Un roman. Un projet littéraire. Pour moi et pour mon besoin de devenir auteur.
Voilà mon égoisme pour 2013. Pas besoin d'être d'accord, c'est mon choix. Point barre.
L'égoïsme peut se baser sur l'idée d'importance de soi et l'instinct de survie, à savoir l'ensemble des tendances ou instincts qui poussent l'individu dans le sens de sa conservation à court terme et de son développement personnel. C'est ignorer qu'à moyen terme et à long terme, notre existence dépend de celle des autres. (ça ne vient pas de moi, wikipedia en est l'auteur!). Mais je pense qu'on y retrouve beaucoup d'éléments véridiques.
Égoisme et instinct de survie.
En effet, je pense qu'il y a un peu de cet instinct de survie dans la manoeuvre d'un individu que de rediriger ses propres actions vers son profit personnel. C'est mon cas du moins. L'altruisme que de penser aux autres, à leur bonheur avant le nôtre peut certes permettre d'acheter la paix, mais fait de grands ravages au fil du temps. Prenons par exemple mon imminent déménagement vers Montréal. J'ai peur de blesser de la famille, des amis quand au fond, c'est un défi que je me souhaite depuis près d'une décennie et pour laquelle j'ai maintenant trop longtemps freiner mes élans. Et je sais que si je ne le fais pas, c'est de ma survie dont il est question. Je sens que je suis dans un cylindre de verre fermé que l'on remplit depuis des années d'eau et je m'approche du trop plein. Si je n'ouvre pas un horizon, que me reste-t-il si ce n'est que la noyade?
Survivre, c'est vivre en attendant. En attendant de mieux ou en attendant de pire. Mais c'est encore cet inlassable attente de changements. Il est normal alors je pense que faire avancer sa propre cause un moment donné. Avancer. Le thème d'une vie.
Ignorance intentionnelle du bien commun.
Le fameux bien commun. J'y crois et j'y consens. Mais je me dis que des fois, c'est aussi au tour du serveur que de s'asseoir pour qu'on puisse le servir de quelques manières que ce soit et de ne pas attendre à la fin de la tournée pour se payer sa rasade, car il ne reste que des miettes une fois notre tour venu. Le bonheur collectif passera inévitablement par le bonheur des individus. Et je dis qu'en 2013, je serai d'abord un individu. La jungle urbaine a ses règles dont l'évidence nous échappe trop souvent. Mais si elle nous échappe si fréquemment, c'est que trop souvent nous la cherchons trop loin. Ou bien peut-être est-ce notre postulat comme quoi une évidence est requise pour chaque chose qui fait défaut? J'irai donc voir dans l'égocentrisme ce que j'y trouverai à titre de réponse.
Comment maintenant?
En me choisissant, tout simplement. Fini les énergies passées dans le vide sans que ça ne me rapporte un peu.
- J'habite à 100% mon chez moi, terminé les questionnements sur les opinions hypothétques d'une absente. Plus que 6 mois de colocation fictive et n'oublions pas que les absents ont toujours torts.
- Une visite de routine chez le médecin s'impose et je dois faire quelques check ups. J'ai droit aussi au bonheur et cela va passer par la santé. Perte de poids au menu et redressement de la glycémie.
- Une routine de lunchs et de sommeil s'impose. Un agenda d'hygiene de vie. Des plaisirs, petits et grands.
- Un roman. Un projet littéraire. Pour moi et pour mon besoin de devenir auteur.
Voilà mon égoisme pour 2013. Pas besoin d'être d'accord, c'est mon choix. Point barre.
mercredi 2 janvier 2013
L'Heure des bilans.
Amours impossibles
2012 m’aura encore prouvé que j’ai le don de heurter mon
cœur pour des histoires sans lendemain, mais surtout sans aujourd’hui ni
veille.
Beauté cruelle
« Certe,
il ne faut avoir qu'un amour en ce monde, Un amour, rien qu'un seul, tout fantasque
soit-il;
Et moi qui le recherche ainsi, noble et subtil, Voilà qu'il m'est à l'âme une entaille profonde. »
Et moi qui le recherche ainsi, noble et subtil, Voilà qu'il m'est à l'âme une entaille profonde. »
Chirurgie
J’ai reçu l’appel et j’ai mis sur la glace. La glace noire en fait, celle qui prend
l’ombre et la poussière au fil du temps.
Je ne sais plus si j’ai bien fait.
Déception
Mauvais choix, mauvaises amitiés, mauvaise colocation. Un autre deuil amical qui m’enrage. Enragé de m’être encore fait avoir.
Enseignement
La boucle est désormais bouclée. La rentrée n’a pas fait de vagues cette
année. À peine un frémissement sur la
houle de mon existence.
Famille en photos
Certainement l’une des plus belles, sinon la plus belle des
journées de 2012. Beaucoup de plaisir et
une courtepointe de liens qui s’y est alors achevée. J’aime.
Grossesse
Non, ce n’est pas la Légionnelose l’épidémie de 2012, mais
bien la grossesse. Je pense que je vais
aller me faire vacciner.
Honnêteté
Des fois, être honnête c’est aussi ne pas être franc à
100%. Par amitié, par peur ou par
nécessité de se préserver.
Incompétence
Je ne suis pas capable.
À salaire égal, compétences égales ou du moins attentes égales. Mais ce n’est pas uniquement au travail, les
êtres humains savent si bien se défiler et être des amis incompétents … Je les
emmerde.
Job
Elle a repris en 2012 la place qu’elle avait naguère. Celle qui trône au cœur du reste, avec tout
l’ascendant qu’on lui connait. Soyons
vigilants, mais acceptons le triste sort du work-a-olic.
Karmarde.
Si l’est une expression consacrée en 2012, c’est bien
celle-ci. Le karma de marde, simplifié
et reconnu comme entité verbale. Comme
il a su être présent tout au long de cette année, de la commune à la cellule, je lui ai ainsi fait une place.
Laurence Anyways.
Comment être mal dans sa peau à ce point. Travestir son corps est une chose, travestir
ses rêves en est une autre. Dans toute
cette histoire, ce n’est pas l’Homme le problème, mais bien la femme. Laquelle?
À vous de me le dire….
Moderne
Des envies de modernité, de maisons de ville et de céramique
m’envahissent en cette fin d’année. Je
sais que je rêver, pas de crédit pas de prêt sur 30 ans, fin du projet! Mais bon, cela vaut la peine de rêver un
petit peu.
Neverland
Si vous connaissez le chemin pour y entrer, laissez-le moi
savoir. Je cherche activement mon enfant
perdu en ce moment.
Oubli
Maintenant
Des garçons de passage
Lui dérobaient des bouts d'sa vie
Il dessinait leurs doux visages
Eux repartaient sans dire merci - Michel Rivard, L’Oubli -
Des garçons de passage
Lui dérobaient des bouts d'sa vie
Il dessinait leurs doux visages
Eux repartaient sans dire merci - Michel Rivard, L’Oubli -
Promenade
Je dois reprendre goût à la marche dans mon quartier,
l’habiter vraiment. ET POURQUOI NE PAS
COURIR AVEC iPod sur mes oreilles….
Pensons-y!
Québec
Je pense que nous y sommes.
Au moment de la grande traversée, du grand départ vers Montréal… et plus
je le sens, plus j’aime Québec. Plus le
move me semble ardu. Il faut que je
fonce, tête baissée et que je relève le défi.
Roman
Où en suis-je dans l’avancement de ce dossier? Est-ce que je souhaite vraiment écrire
un livre ou n’est-ce que le bien
paraître de vouloir devenir auteur qui m’habite? Le syndrome de la page blanche n’est pas le
problème, encore faudrait-il que je m’assois face à cette page blanche. Dressons la table pour 2013…
Solitude sollicitée.
2012 aura été le retour du tête à tête avec moi-même. J’ai amorcé 2012 en surcharge
environnementale. Trop de monde dans ce
qui n’aurait pas dû en comporter autant et je voilà que je la termine de
manière redoutable avec moi-même. Je
craignais ce moment, je l’envie maintenant…
Terminer ce que je commence
Bon bien, c’est ici que ça se termine cette année, je suis
tanné! Lol! Sérieusement,
j’aime tant les listes qu’il faudrait bien que j’en vienne à bout.
Université
Boucler la
boucle. Programme court en
andragogie pour enseigner aux adultes. Ne
pas enseigner pour éduquer, mais pour profiter.
Vision
Le moyen terme a laissé sa place au long terme. Enfin.
Maison de ville et roman.
Why does my
heart feel so bad?
Je constate que la nostalgie se mêle toujours au besoin de
prendre une pause, un temps d’arrêt pour réfléchir, afin de mieux
comprendre. Je m’en fais toujours pour
ce que je ne contrôle pas, pour les choix que les autres ont fait.
Xanadu
But I know for certain
Goodbye is a crime
So love if you need me
Suspend me in time
Goodbye is a crime
So love if you need me
Suspend me in time
Youth
“What youth
learns, age does not forget.” Je le souhaite ardemment.
Ze me souviens.
Un gouvernement péquiste DONE Une Première Ministre DONE Maintenant, des
modèles gais inspirants dans le monde des affaires svp!
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