jeudi 26 janvier 2012

Le syndrôme du papier blanc.

Nada.  Niet.  Pantoute.  Je me trouve là, devant Mattéo et des millions de possibilités d'histoires, mais aucune ne s'étend sur la page ces temps-ci.  Serais-je tari?

Une page blanche, c'est supposé être un lit immaculé qui voit s'y jouer les scènes d'un possible.  On essaie, on rature, bref on joue!  Cela prend l'odeur de la sueur des gens qui y jouent, c'est littéralement un lit au fil de l'amour qui s'y vit.   Mais, malgré toutes mes bonnes intentions, je bloque.  Cette page ne prend pas vie depuis plusieurs mois.

J'ai essayé de méditer, je me promène avec un calepin au cas où l'idée arriverait aux toilettes de la job.  Je suis on ne peut plus alerte.  Je veux écrire pour être.  Mais il n'y a plus de services au numéro que vous avez composé.  La musique du fast busy n'a rien de bien aidant je dois avouer. Damn.

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